<< Page Précédente |
Oui,
allô c'est la maison blanche. | Blanche.
Ha ha ha ha !!! | | Comment-ça
? | Blanche
: à ce sujet, il vous a pas fait une blague de mayrde cet étonnant,
pour rester poli, président du conseil italien
? |
_ | ||||
Oh
non. Quand même, il n'oserait pas. | Ah,
y a une belle phrase d'audiard au sujet de ceux qui osent et qu'on peut reconnaitre
comme tel. Mais passons, pas la peine de s'attarder sur des crétins, quelle
est la raison de votre appel siouplait ? |
Ben
c'est au sujet de votre trèfle, là. Vous
savez qu'on a des lois en ce qui concerne l'importation de matériaux organiques
sur notre sol ? | Heuuu...
A 95 % de chance, c'est un trèfle que j'ai cueilli au Canada que je vais
envoyer à Barack ! | |
| ||||
Au
Canada ? | Ouais,
j'en ai jamais trouvé autant dans ma vie qu'au Canada. J'ai même
pu en trouver un à six feuilles !!! |
Six
feuilles ? | Ouais.
Exceptionnel. Sur l'île de Vancouver, dans un bled appelé Tofino. | |
Hum.
Six feuilles... Vous êtes sûr que vous n'êtes pas en
train de nous parler de pétard ?
| Tssss...
C'est pas parce que Tofino rime avec golio qu'il faudrait croire que j'en sois
un... |
Pendant
ce temps à l'Elysée... | Vous
intercepterez son courrier et si le trèfle pour Barack Obama est plus gros
et plus beau que le nôtre, vous faites discrètement le changement,
le mien, hein... C'est nous qui avons quand besoin de plus de chance en c'moment. | |
Oui
monsieur le Président, qu'est-ce que je dois faire au sujet du golio ? | ||||
<< Page Précédente |