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| Hu,
pitin, notre pauvre copain Schprountz... Hé ! T'es bien Charles Lindberg
avec des super-pouvoirs, là ? | Ben
ouais... |
Et
tu n'aurais pas un pouvoir cool qui pourrait t'aider pour régler cette
prise d'otage dans l'asile de petite Bavière ? | Heuu...
Je suppose oui, mais... | |
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Alors
pourquoi tu utilises pas ton pouvoir plutôt que menacer de sauter sur Schprountz
comme tu le fais d'puis deux jours ? | Parce
que c'est long d'aller en Allemagne et que ça le fait pas,
et puis bon, en plus, j' parle pas allemand... |
Mais
la psychiatre de Fritz, elle pourrait te traduire, non ? | Si
elle est encore en vie, mais surtout, je te le dis : ça le fait pas
que j'aille là-bas... | |
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| Pourquoi
? ... | Parce
que je suis Charles Lindberg... |
Comprends
pô.. | Ben
normalement, je suis censé être mort... | |
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Et
? ... | Ben,
être quelqu'un de mort et aller chez les fous, tu crois pas que ça
va faire un peu lourd pour eux, non ?... | Quarante
contre un que le nain s'en sort pas et qu'Hollywood fait un film sur Fritz, mon
bon nico... | Hu...
Je sais pas, mon bon Jacques, j'aurais plutôt une nouvelle fois parié
sur le nombre de semaines qu'il reste à votre protégé avant
d'rejoindre une instution, voyez... | |
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