Vacances à Rome, 3...
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Or donc, vu que je suis allé à Rome, j'en ai profité pour goûter différentes spécialités totalement italiennes ou des produits qui sembleraient chez nous communs.
Le tiramisu en grande surface, fait au restaurant, ou décongelé au restaurant et je dois avouer que le tiramisu, c'est quand même meilleur avec une pointe d'alcool dedans. Sans, c'est plus pour les mômes mais on perd en puissance... Salauds d'mômes qui commandent ça au restaurant. Gagnant, donc, le tiramisu du commerce, car les commerçants s'en foutent qu'il y ait de l'alcool d'dans :)
En même temps, à Rome, c'est plus facile de goûter des trucs bons qu'en Suède par exemple
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Le Tiramisu c'est un instrument de contrôle de la qualité d'un restaurant italien, si si si..
Les pâtes au pesto... Arh. Soit avec du pesto acheté en boîte et des pâtes fraiches, soit au restaurant avec une méthode qui ne m'est pas connue (font-ils leur pesto eux-mêmes ?), soit avec un pesto vieux de plusieurs jours laissé par l'ancien locataire de l'appartement où on résidait. Hum, je dois dire que le gagnant est le restaurant.
 
Différentes pizzas dont une dans un restaurant recommandé dans le guide du routard mais où c'est tellement service rapide que y a pas de café servi pour laisser place aux clients suivants et le gagnant est un restaurant qui n'est recommandé nulle part et dans lequel j'ai aussi mangé les meilleurs gnocchis d'ma vie en profitant d'un excellent spectacle de rue...
Je n'ai pas essayé le vieux pesto pourri, je vous rassure, cela dit...
 
Je préfère définitivement l'intuition pour découvrir des lieux. On ne suspecte que soi-même quand on se plante
J'ai voulu aussi essayer d'aller goûter du pain, mais euh, comment dire. Après avoir fait des tas et des tas de kilomètres dans Rome, j'ai pas trouvé une seule boulangerie comme on a chez nous en France... Pas une. Le seul pain décent que j'ai mangé, c'était au restau. Et encore, sans sel. Mais tu peux pas être le roi des pâtes et du pain en même temps, je suppose.
 
En parlant de café, lui, ben c'est sûr il était pas dégueu, c'est clair, macchiato, expresso ou cappucino, ça le faisait tout le temps, sauf qu'il faut toujours prendre la chose au bar sinon les prix sont doublés. Si si si, ça coûte cher de l'apporter à une table là-bas... Tu peux aussi le faire toi même, mais les vieilles cafetières italiennes, ça brûle les maladroits comme moi.
Je vous jure. C'est extrêmement déroutant sur des kilomètres de ne pas trouver de boulangerie
 
Ben oui, bien sûr que je me suis brûlé. Et que j'ai eu mal au cul en payant plus cher à table
A propos de se brûler, j'aurais bien testé les filles... Mais là, ma femme n'a pas voulu et de toutes les manières c'est vrai les trois-quart des filles que vues dans la rue étaient des touristes françaises. Ceci dit, bon, c'est deux poids deux mesures, parce que j'ai laissé le plus célèbre des italiens - silivio Berlusconi - toucher ma femme lors d'une poignée de main pour la fête de la libération de l'Italie, le 26 mars.
 
Nan, la prochaine fois que je reviens, je m'en fous, j'fais un compromis et je me fâche pô avec ma femme mais je touche quand même la plus célèbre personne portant une robe : le pape... Hu hu hu hu...
J'y aurais permis, moi, à ma femme de toucher le cul de Silvio si elle avait voulu
 
Mais attention, je touche ni les oreilles, ni la queue... :
Dédié au mec qui a mis les gnocchis aux épinards à la carte dans c'te p'tit restaurant à côté du Vatican, là, pitin...
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