Chronique rôliste de l'été, 4-33 : les 28...
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Pour continuer donc, sur hier... et une des questions soulevées par un acolyte derrière, nan, y a pas de San Francisco dans Donjons et Dragons, sauf à considérer un Donjons et Dragons dans un univers appelé Masque of the Red Death, arf...

Les 28, c'est effectivement une manière de pouvoir utiliser un principe ou des principes hors règles quels que soient les univers, de s'affranchir des "loi" qui voudraient que non, ça, c'est pas possible dans les règles, même si ça serait fun...

Un univers glauque et glacé à recommander à tous les joueurs pas frais au demeurant :)

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Du genre, oui, un vampire ça peut sortir de jour...  Ou un schtroumpf ça peut être rose...

L'idée est de confronter des personnages à un destin, une apocalypse, a des nœuds et des réseaux de possibles et de voir comment ils changent le monde. Pour pouvoir le faire, il faut effectivement qu'ils soient supérieurs à la donne ordinaire...
Ouais, je sais c'est bizarre, mais en fait, c'est un principe adaptable partout, à Star Wars, ç'est une strike team du passé clonée en quatre exemplaires. A shadowrun, pareil, des fils de cuve comme on dit. Dans l'appel de Cthulhu, le premier jeu où je les ai créés, essentiellement des milliardaires...
Le terme exact du geek avéré est Gros Bill...

Je sais pas ce que ça donnerait dans un jeu comme Diana Princess Warrior, par contre...

Dans mon donjons et dragons dans lequel les crétins derrière ne jouent pas, le même principe existe avec des personnages et des artefacts qui ont voyagé dans le temps, 28 ans en arrière et les 28 sont en faits 14 personnages et leurs clones....

Les crétins...

En fait, c'est 13 personnages et un avatar, mais chut mes joueurs ne le savent pas encore...

Humf...

Mais là n'est pas le propos, ce qui m'intéresse, ce sont ceux d'un des 13 mondes de mon multivers et dont on commencera la chronique demain...
Pschiiit... Comment que je me serais amusé avec mon clone de ranger elfe bisexuelle pourtant...
Comment que j'aurais assassiné mon clone pour voler son pouvoir...
Les crétins derrière n'y joueront pas ? Comment que je suis content d'être appelé un crétin pour une fois...
Oh pitin, ce que vous allez en bouffer...
Ah pitin, heureusement que j'ai pas écrit les 4400, je m'en serais pas sorti...
Dédié à mes crétins derrière, quand même, sans lesquels, des fois, je me sentirais un peu seul dans ces pages...
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