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| Jaaaaaaacques... 
J'insiiiiiisteuuuuuh vraiment, là mon tendre pinson... | Qu'est-ce 
qu'il y a encore, ma mie ?... | Cet 
affreux nain de jardin est encore sur votre ordinateur, en plus vous lui avez 
enlevé son manteau, et... | Et quoi donc, ma mie ? | |
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| Et 
bien, Jacques mon joli moineau, enfin, voyons, regardez-le... | Il 
n'est pas bien dangereux, vous savez, ma mie... |  | Oui, 
mais enfin, Jacques, ma suave autruche, regardez mieux... | Il 
a l'air toujours aussi immobile. A la limite, il a un air coquin avec son arrosoir... | 
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| Jacques, 
mon doux coucou, j'insiste. Voyez justement la manière dont il tient son 
arrosoir. Sous cet angle, on dirait qu'il... qu'il... | Hu... 
 Enfin, voyons ma mie... |  | Un 
peu plus tard, chez Charles Lindberg... | |
| Hein 
? Si on dirait que Schprountz tient sa zézette au lieu d'un arrosoir 
? Hé ! Uniquement si on est un gros obsédé, 
hein...  | ||||
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| Ou 
à la limite daltonien... |  | Quoi 
? Si Charles Lindberg pense que des femmes puissent être daltoniennes 
?!? | ||
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