Ne pas se laisser abattre, 4...

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Alors, en ayant bien mal hier soir après avoir tenu sans trop de douleurs marquées grâce à l'acupan, je me suis retrouvé à réfléchir...
Réflexion qui s'est prolongée le lendemain avec le coup dans le nez des douleurs bien ancrées..

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Car, j'ai un fond, en moi, qui appelle à la dépendance, je me suis vraiment dit ce matin, " Ah pitin, c'était bien cool, en fait, de ne plus avoir mal ", MAIS...
Mais entre le choix d'avoir un corps qui fonctionne à peu près ou un cerveau qui fonctionne à peu près normalement,...

Eh bé, je privilégie mon cerveau, car je me dis qu'il peut parfois être plus fort que mon corps alors que si je laisse mon corps devenir accro aux anti-douleurs, eh ben, mon cerveau il va partir en vacances...

Et j'ai pas besoin d'un cerveau en vacances dans un monde où il y a déjà trop de cerveaux en vacances (faut voir ce que les médias, déjà t'imposent, ou Internet), il se retrouverait dans des endroits bondés d'autres cerveaux décérébrés à devenir encore plus mou...

Conclusion, j'ai appris que j'allais continuer à avoir (bien) mal tant que je n'aurai pas l'occasion de tester les deux autres choses pas testées : le miracle de Lourdes (Yo !) ou le neurostimulateur (Yeh !)...
Et donc, pour lutter, ne pas se laisser abattre et occuper mon cerveau, j'ai résolu quelques activités en plus cette année dont je parlerai demain.

!!!
 

Oh évidemment, je peux spoiler : ce n'est pas cette année que je vais commencer le macramé, le triathlon ou une carrière dans l'organisation de parties fines pour l'amicale des partouzeurs du Cher, mais vous allez voir, ça sera déjà ça !!!

 
Dédié au lard du suspense.
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