Le théâtre, 3...
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Alors, comment dire...

J'ai eu le drame, hier, de ne pouvoir aller en répétition avec mes camarades ...

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Et j'ai pu expérimenter le vide moral et le comparer au vide mental et physique provoqués par une journée, qu'on qualifiera modestement de très rude niveau transit et de pénible niveau oeil (vu que y a rupture de stock de mon nouveau médoc chez tous les fournisseurs)...
Si je n'avais pas eu à jouer vendredi, je pense que le moral aurait été laminé parce qu'être empêché physiquement à ce point, c'est rare. J'ai donc choisi de rester chez moi, opérant à 30 % de mes capacités pour être au top vendredi ...

Scritch scritch...

Et ce qu'il y a d'intéressant, dans le théâtre, c'est que connaissant la nature du vide moral et de ceux que tu regrettes vraiment de ne pas voir un soir, tu réalises que c'est ce qu'il y a de plus important dans la vie : une famille.

Hmf...

Au moins, ce qu'il y a de positif, avec cette analyse sur le théâtre, c'est que je sais que je ne finirais pas totalement cynique, misanthrope, avec pour seuls compagnons des chats, la la la la la...
Dédié à la famille Maleluka (et Enrôlés)

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