Ces dépendances qui nous gouvernent : eu'l théâtre cette année...
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J'ai fait le point hier soir sur ce que je voulais vraiment, et ce que je veux le plus, c'est quatre trucs : jouer une pièce que j'ai écrite, jouer la création qu'on fait, jouer dans l'atelier théâtre de la Maison de la Culture et jouer l'intergroupe de cette année...
Mais j'ai aussi les pestaks de fin d'année, ma participation pour donner un coup de main à une autre compagnie, ce qui commence à cocher, un truc à faire le 14 octobre, toujours pas appris...
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C'est l'année dernière que j'aurais voulu me dire : lance-toi à fond dedans, mais il y avait une question de mental qui était sans doute pas encore tout à fait prêt à passer outre tous les bobos !!!

Et il y a aussi le challenge pour ma mémoire (c'est bien ça) et mes intestins (le régime le plus efficaces au monde, les filles), en vrac, avant chaque représentation...
A l'heure où je fais ces photos, à même pas quatre heures d'intervenir en public lors d'un débat sur l'addiction, par exemple, j'ai un chant polyphonique dans mes boyaux, ce qui permet d'oublier les autres douleurs, remarquez.
Faudrait juste que le théâtre, ça soit pas préférer avoir des douleurs qu'on se provoque pour oublier où on a mal d'habitude, hu, sinon...

Hmf...
Oh pitin, je suis ma-so-chis-te sélectif...
Dédié à l'accent honteux de la vérité : mais parfois, effectivement, t'en arrives à oublier que t'as mal là en te concentrant sur le fait que t'as mal ici.
Dédié aussi à l'Anpaa 18 du Cher, l'Insa, William Lowenstein et Marc Dalstein pour cette remarquable journée.
Septembre 2014 / Page 3986 / © Ebatbuok 2014

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