Le mois de l'Audace : Portrait chinois, une manière de vous en balek...
Il y a 5000 pages : 30 janvier 2011
La vidéo de la semaine : Ce qui change la vie...

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Et allez, on y va, et comme je m'en balek aujourd'hui, boucle temporelle, mêmes images qu'hier...
 
Appliquer les quatre accords toltèques et en particulier ne pas prendre les choses personnellement, même si c'est compliqué de ne pas prendre les choses personnellement quand on te chasse pour ton ivoire...
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Ah mouah ce serait comme on dit vulgairement de chier un bon coup. Quand quelque chose va pas, tu le cristalises dans le bidou et plaf, dans les champs et le recyclage...
 
Je pense que ce que je suis en train de faire parle pour moi, c'est exactement comme ça que je m'en balek...
 
Pareil que la danseuse mais avec moins de calories dépensées en me contentant de méditer sur le rien...
 
En me les touchant pardi... Au sens propre. Ça fait du bien, bon sang.
 
Si je dis rêver on va me dire que je ne suis pas original mais je m'en balek, hu hu hu...
 
En regardant les choses de haut, hu hu hu...
 
Vers l'infini et au delà, toujours. En regardant toujours vers là. Vers l'infini et au delà.
 
En mettant de l'enchantement en tout, le regard merveilleux de l'enfance même si j'aurais préféré plus que le talent d'un enfant pour faire le truc que j'ai au cul...
 
En distribuant des bisous ou des free hugs...
 
En posant des questions à la con auxquelles personne n'a de réponse sûre : à votre avis, j'ai aussi des écailles aux couilles ?...
 
En faisant du théâtre, du jdr mais surtout la page du jour depuis 21 ans ce qui nous permet la catharsis ultime du balekisme !!!
 
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Et là, je dois avouer qu'en 7651 pages passées à m'en balek, j'ai sans doute gagné le rang de général de division...
 
Dédié à la page du jour, alors, parce que c'est le meilleur moyen que j'ai depuis 21 ans de m'en balek, en effet.
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Et une note que je conserve de l'année dernière pour me rappeler de bien m'en balek aussi sur scène.
Selon Aristote, le théâtre est né dans l’Antiquité grecque à partir des fêtes dédiées à Dionysos, le dieu de l’ivresse et de l’inspiration. Le théâtre était alors un culte religieux et civique, où les acteurs et le chœur alternaient des dialogues, des chants et des danses.
Dionysos était aussi le dieu des vignes, du vin, du délire mystique et extatique, du passage vers les enfers, et du théâtre. Sur une même figure divine se superposaient le transport provoqué par le vin, le transport mystique de l’enthousiasme, et celui provoqué par le rythme, la musique et le verbe.
La transe était un état spécifique de l’acteur sur scène, qui lui permettait de s’identifier au personnage qu’il incarnait, et de communiquer avec les dieux ou les esprits. Certains metteurs en scène du 20e siècle, comme Grotowski, ont cherché à retrouver cette dimension rituelle du théâtre antique.