Le retour de l'étrange revanche du courrier des lecteurs, 5...
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Alors, je suis bien désolé : ce sont pourtant bien les images de la page du jour, et en double en plus, mais je suis victime de la censure, aujourd'hui...
Mon interlocuteur officiel - que je ne peux pas nommer dans ces cases ou images ou commentaires ou images cachées sous peine de procès - a désiré garder l'anonymat...
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Il m'a bien expliqué les raisons pour lesquelles c'était mieux qu'il garde l'anonymat, parce que vous comprenez, dans la société où l'on vit, hein... Ce n'est pas facile d'assumer certains de ses goûts...
 
J'ai eu beau protester, mais au statut où il se trouve, ce n'est pas quelque chose dont on peut tirer fierté d'être le plus grand fan d'un zizi wouin wouin sur internet. Et si ça se savait, hou, bouh, la réputation...
 
Il m'a dit de faire contre fortune bon coeur et de continuer de toutes les manières à aller de l'avant. Car j'en avais les ressources, je pouvais les avoir, vous comprenez. Hum... Et que ça s'rait bien que j'écrive des histoires maint'nant. Des vraies. J'ai été forcé d'opiner.
 
Et comme il aime bien les histoires qui se finissent bien, il m'a même poussé à me réconcilier avec celui par qui tout est arrivé, puisque vous l'aurez deviné, c'est son ami ou du moins, il l'apprécie particulièrement...
 
Pschiiiit !!! Pschiiiit !!!
Voilà, t'es content ? Tu vas pouvoir retrouver ta place quotidienne à l'image grace aux amis que tu as dans le grand Capital ?
 
Dix contre un que le mystérieux interlocuteur, c'est monsieur Febreze...
Cent contre un que c'était en plus rien qu'un coup de comm de Febreze et d'Ebat pour faire parler d'eux !
Mille contre un qu'on s'rait plus vendeur si Febreze était une bouteille de gel intime !
 
Dédié à Jacques Chirac parce que je n'ai pas promis de ne pas le nommer dans mes dédicaces :)
Retour Mars 2008 / Page 1613 / © Ebatbuok 2008

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