Alors,
je suis bien désolé : ce sont pourtant bien les images de la page
du jour, et en double en plus, mais je suis victime de la censure, aujourd'hui...
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Mon
interlocuteur officiel - que je ne peux pas nommer dans ces cases ou images ou
commentaires ou images cachées sous peine de procès - a désiré
garder l'anonymat... |
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Il
m'a bien expliqué les raisons pour lesquelles c'était mieux qu'il
garde l'anonymat, parce que vous comprenez, dans la société où
l'on vit, hein... Ce n'est pas facile d'assumer certains de ses goûts... |
| J'ai
eu beau protester, mais au statut où il se trouve, ce n'est pas quelque
chose dont on peut tirer fierté d'être le plus grand fan d'un zizi
wouin wouin sur internet. Et si ça se savait, hou, bouh, la réputation... |
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Il
m'a dit de faire contre fortune bon coeur et de continuer de toutes les manières
à aller de l'avant. Car j'en avais les ressources, je pouvais les avoir,
vous comprenez. Hum... Et que ça s'rait bien que j'écrive des histoires
maint'nant. Des vraies. J'ai été forcé d'opiner. |
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Et
comme il aime bien les histoires qui se finissent bien, il m'a même poussé
à me réconcilier avec celui par qui tout est arrivé, puisque
vous l'aurez deviné, c'est son ami ou du moins, il l'apprécie particulièrement... |
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Pschiiiit
!!! Pschiiiit !!! | Voilà,
t'es content ? Tu vas pouvoir retrouver ta place quotidienne à l'image
grace aux amis que tu as dans le grand Capital ? |
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Dix
contre un que le mystérieux interlocuteur, c'est monsieur Febreze... | Cent
contre un que c'était en plus rien qu'un coup de comm de
Febreze et d'Ebat pour faire parler d'eux ! | Mille
contre un qu'on s'rait plus vendeur si Febreze était une bouteille de gel
intime ! |
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