La Complainte de William
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Je sais que je m'étais dit que je parlerais pas mal de Charlie. 

 
Mais vous avez vu l'article que j'ai balancé mercredi et que je remets encore en bas de page...

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Comment tu remercies un auteur à qui tu aurais bien demandé un autographe ou avec lequel tu aurais bien bu une binouze (plus de notre temps la binouze, je suis pas sûr de la qualité du temps de Shakespeare) ?
 
La meilleure manière reste sans doute de le jouer bien et de l'adapter bien...
 
Mais à vrai dire quand tu passes de l'anglais au français, que reste-t-il de la poésie d'origine et d'ailleurs, comme tout n'était pas forcément restranscrit directement, que reste-t-il des vraies phrases de Shakespeare ?...
 
N'aimons nous pas (enfin, vous je sais pas mais moi, oui), en certains auteurs, et en particulier Shakespeare, un mythe, qui a certes plus de corps que le mythe d'un barbu créateur invisible, mais un mythe tout de même ?...
 

Peut-on comparer le metteur en scène à un prophète de ce mythe et les acteurs aux apôtres ? ...

Et en quelle mesure la scène de théâtre n'est-elle pas une allégorie de la pièce que nous jouons de notre propre vie ?...
 
Ah pitin...
 
Le voyage dans le temps existerait, comment est-ce que je vous aurais fait hièche plusieurs semaines avec des selfies de Willie et de moi...
 
Dédié à la magie de la semaine dernière et à mes yeux que j'espère vite un peu mieux pour se remettre à lire du Willie :)
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Page 4225 / © Ebatbuok 2015
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