Après la première, la dernière...
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Je préviens tout de suite, j'avais deux choix, soit faire cette page en avance, soit la faire après la première et avant la dernière...
 
Et j'ai eu peur d'être triste... Car le vrai drame, c'est quand ça s'arrête. Tant de boulot pour seulement deux représentations, y a un côté frustrant surtout que car ma caméra est trop nulle pour immortaliser la scène...
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Et j'avais pas envie de naviguer entre deux eaux, celle du nuage d'avoir joué une fois et d'avoir été applaudi, car le spectacle mérite quand même, et celle du stress de rejouer une deuxième fois et de la douleur de savoir que ça sera fini...
 
Je crois que je rêverais de pouvoir jouer un spectacle au moins une dizaine de fois, histoire de le sentir vivre, bouger, évoluer en toi, mais il me semble que si tu rêves de ça, faut t'en donner les moyens, eh eh eh...
 
Mais revenons à notre entre deux, je peux au moins, dans cette page, communiquer le nombre de personnes qui sont venues voir un pestak de trois heures et demi...
 
Plus de cent cinquante... C'est déjà pas mal... Et je les remercie d'être restées presque toutes jusqu'au bout et de ne même pas avoir eu le droit de boire la vodka ou de manger les zakouskis dont on parle dans la pièce...
 
Rhaaaa... Mais il faut bien que nous, comédiens, on garde toute cette vodka pour nous, pour nous aider à oublier tout notre stress avant de commencer et toute notre tristesse quand ça sera fini...
Blurp...
 
Dédié au prochain pestak qu'on pourrait appeler Kronenbourg et cacahuètes pour qu'on puisse inviter le public, cong.
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