Les reliques du Pouvoir, 5...
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Bon, le troisième volet de la campagne, on a le droit à quoi ?
Oooooh, au début, c'est pô compliqué, faut éclater du cyber prêtre et le torturer... Après, y a du dragon à s'faire mais moins gros que c'lui du deuxième volet.
Wouéééééééééé. Et ensuite ?

Et ensuite y a une sorte de huis clos dans un train avec toute une galerie de personnages et une grosse frite finale contre des tas de méchants français adeptes du cyberpape...

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Attends... Tous les français qu'on rencontre dans cette campagne sont mauvais ?
Beeeen, dans celle-ci, oui. Les français, à Torg, ce sont des gros fanatiques d'un cyberpape appelé Jean Malraux môman, je te rappelle.
 
T'es sûr que c'est pas toi qui a inventé ça ? Ca ressemble à une connerie que tu pourrais inventer.
Ca ressemble surtout à une connerie que je pourrais faire jouer, môman. Ch'uis bien désolé, mais faut pas être chauvin. Et puis, y a des résistants français quand même à Torg.
 
Autant que pendant la guerre 39-45 ? Parce qu'il y en a un paquet qui sont restés neutres, hein, à la dernière guerre !
Môman, je sais bien que la tranche d'âge des 80 - 90 ans n'est pas mon coeur de cible, mais sait-on jamais. Alors pschiiitt, pschiiitt*, pas d'polémique, tu veux...
 
Hum... Bon, y a quoi après ?
Un vampire et ses quelques morts-vivants. Du gâteau servi glacé sur les contreforts de Tangkula. Et pour devancer toute question : non le vampire n'est pas français ; oui, il peut tomber amoureux de ton perso.
Hum, bon d'accord, je joue... A une seule condition...
Laquelle mômaaan...
 
Tu mets le cyberpape chez ces salauds d'boches et tu remplaces les prêtres par des nazis... C'est toujours cool de déboiter des nazis.
Ma il va falloir qu'on fassé gaffé, alors, les gars. Nazi, c'est les costoumes oune peu rétrogay qu'on avait choisis pour nos luchadores, madre mia..
Ggg**...
 
Dédié à la sombre vérité : la taille de la geekerie d'un rôliste se mesure au nombre de nazis que son personnage a tué dans une campagne pulp.
Retour Mai 2008 / Page 1662 / © Ebatbuok 2008

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*Eviv Ezerbef ! / **Je vous le dis, j'ai du mal à faire le bruitage de la rupture d'un anévrisme.