<< Page Précédente |
Le corbeau de la mémoire atterrit enfin sur l'épaule du poète. |
Et lui dit, ça y est, je suis là, à partir de maintenant c'est la fête... |
|
_ |
||
Armé de la pensée et de la mémoire, tu peux dépasser tes frontières... |
Et sans coup férir, sublimer les maux dans les mots dont tu seras fier... |
|
... |
!!! |
|
Alors bien sûr, le corbeau n'est qu'une muse de l'irréel, et il n'est que le chuchoteur des virtuels cieux... |
Mais peut-être est-ce mieux ainsi car dans le monde réel, le poète est déjà assez occupé avec une fichue queue... |
|
<< Page Précédente |