Les aventures de Schprountz : le président, sa femme et moi, 3...
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Jaaaaaaacques... J'insiiiiiisteuuuuuh vraiment, là mon tendre pinson...
Qu'est-ce qu'il y a encore, ma mie ?...
Cet affreux nain de jardin est encore sur votre ordinateur, en plus vous lui avez enlevé son manteau, et...

Et quoi donc, ma mie ?

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Et bien, Jacques mon joli moineau, enfin, voyons, regardez-le...
Il n'est pas bien dangereux, vous savez, ma mie...
 
Oui, mais enfin, Jacques, ma suave autruche, regardez mieux...
Il a l'air toujours aussi immobile. A la limite, il a un air coquin avec son arrosoir...
 
Jacques, mon doux coucou, j'insiste. Voyez justement la manière dont il tient son arrosoir. Sous cet angle, on dirait qu'il... qu'il...
Hu...
Enfin, voyons ma mie...
 
Un peu plus tard, chez Charles Lindberg...
Hein ? Si on dirait que Schprountz tient sa zézette au lieu d'un arrosoir ? Hé ! Uniquement si on est un gros obsédé, hein...
 
Ou à la limite daltonien...
 
Quoi ? Si Charles Lindberg pense que des femmes puissent être daltoniennes ?!?
 
Dédié aux quelques pour cent de la population comme moi qui ne sont pas obsédés mais juste daltoniens...
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Page 947 / © Ebatbuok 2006
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