Michaël, ma licorne magique invisible...
Il y a 5000 pages : L'amour du Risque...

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ETTTTTT...
Arh, mais pitin, toi...
Kwa pitin, moi ?...
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Tu reprends comme d'hab, en modèle, la page du jour précédent...
Ben oui...
 
Ce qui fait que ça m'empêche de parler dans la première case...
Mince...
 
En tant Michaël ton maître spirituel et leader incontesté licorne magique invisible, je trouve ça lamentable...
Ah pitin...
...
...
 
Surtout qu'en plus, tu te permets l'outrecuidance d'utiliser les MÊMES photos qu'hier, fils de chien...
Ouais, mais à décharge, je n'utilise les mêmes photos que quand je me sens vraiment une tête de cul..
 
Et là, je me sens une tête de cul, aujourd'hui, alors je sais pas, à moins que tu n'aies une solution de maître spirituel...
 
Ben c'est simple...
...
 
T'as une tête de CUL tout le temps, ASSUME et tu verras, tout sera plus FACILE....
 
BANCO !!!
Bon, tu vas devoir aussi assumer ta flemme, hein, parce que je crois que tu sais bien que, en fait, tu utilises juste les mêmes images parce que ça te prend juste moins de temps....
 
Pas vrai ?
JOKER !!!
 
Dédié à ma tête de cul que j'assume en effet depuis un bout de temps...
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Ben non pas Joker, on le sait, pitin, qu'on est une grosse fainéasse de mayrde...
Vous savez quoi mon bon Édouard, je me demande d'un coup si ma vie n'aurait pas été plus simple si j'avais été une grosse fainéasse de mayrde...
Moi aussi, mon bon manu, moi aussi...
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Et un peu de culture que j'avais mise l'année dernière...
Être, ou ne pas être, c’est là la question. Y a-t-il plus de noblesse d’âme à subir la fronde et les flèches de la fortune outrageante, ou bien à s’armer contre une mer de douleurs et à l’arrêter par une révolte ? Mourir.., dormir, rien de plus... et dire que par ce sommeil nous mettons fin aux maux du cœur et aux mille tortures naturelles qui sont le legs de la chair: c’est là un dénouement qu’on doit souhaiter avec ferveur. Mourir.., dormir, dormir ! peut-être rêver ! Oui, là est l’embarras. Car quels rêves peut-il nous venir dans ce sommeil de la mort, quand nous sommes débarrassés de l’étreinte de cette vie ? Voilà qui doit nous arrêter. C’est cette réflexion-là qui nous vaut la calamité d’une si longue existence. Qui, en effet, voudrait supporter les flagellations et les dédains du monde, l’injure de l’oppresseur, l’humiliation de la pauvreté, les angoisses de l’amour méprisé, les lenteurs de la loi, l’insolence du pouvoir, et les rebuffades que le mérite résigné reçoit d’hommes indignes, s’il pouvait en être quitte avec un simple poinçon ? Qui voudrait porter ces fardeaux, grogner et suer sous une vie accablante, si la crainte de quelque chose après la mort, de cette région inexplorée, d’où nul voyageur ne revient, ne troublait la volonté, et ne nous faisait supporter les maux que nous avons par peur de nous lancer dans ceux que nous ne connaissons pas ? Ainsi la conscience fait de nous tous des lâches; ainsi les couleurs natives de la résolution blêmissent sous les pâles reflets de la pensée; ainsi les entreprises les plus énergiques et les plus importantes se détournent de leur cours, à cette idée, et perdent le nom d’action... Doucement, maintenant! Voici la belle Ophélia... Nymphe, dans tes oraisons souviens-toi de tous mes péchés.