Eu'l marathon théâtre, saison 6 : Glock et Knock, bis
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Ah la la la, j'ai adoré les enfants qui ont fait leur première mercredi, ils avaient l'essence de ce qu'il faut pour jouer...
Avoir du plaisir à le faire et ne pas se prendre la tête...
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En dépit de deux ou trois pains de texte rattrapés sans que j'ai eu à souffler (et y en a toujours, des pains, vive alors l'impro :)), j'ai adoré aussi l'enthousiasme de la plupart de mes camarades de mercredi...
Le seul risque de jeu dans Knock est que la première scène est statique (impossible de faire autrement, les personnages sont en voiture) et qu'on a 7 personnages qui cuisent en manteaux sous la lumière des projecteurs (ah c'est beau, les sacrifices de la scène, eh eh eh :) )...
Je dois aussi rappeler c'est que c'est très peu de l'humour pan pan pouët. Moi, c'est de l'humour qui me fait marrer (mais j'ai jamais autant ri que dans le début de fight club), mais c'est quand même une satire sociale, presque noire finalement, et il ne faut pas s'attendre à des rires tout le temps, ce n'est pas le sujet, c'est de l'humour sourire noir...
C'est une pièce qu'on apprécie, encore plus un bon verre de quelque chose glacé à la main par un temps de canicule, mais heureusement, heureusement, que la salle où on joue reste fraiche et que vous aurez le droit, pour ceux qui restent, à prendre un petit verre à la fin :).

Huuu, le plaisiiiiir...
Le Plaisir, toujours le plaisir, y aller à fond, sans se prendre la tête, en plus on aura le maire de Bourges en tant que Pesktateur, gruiii !!!
!!!
  
Ah ce que je regrette qu'on ne puisse pas se permettre d'aller sur scène dans cette pièce, parce que je vous promets que je me serais assis sur ses genous !!!
 
Dédié aux enfants de la compagnie Maleluka qui se sont comportés comme des chefs et à tous ceux qui ont fait leur première année avec nous et qui l'ont bien faite :)
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