Avant de partir, 4...
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On a fait une fête, hier soir, avec le groupe du mercredi... Mais, personnellement, c'est ma première année où j'ai ressenti une petite gêne (et j'utilise donc des images de la pièce que je mets au-dessus de tout dans ce que j'ai joué : l'histoire du communisme aux malades mentaux)...
 
Cette petite gêne est liée principalement au fait que je n'ai pas pu être là souvent, ou seulement très peu, et donc à un manque de lien social (voire de leadership) que j'assurais et à l'incapacité que j'ai eu à comprendre ou canalyser certaines choses...

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Bon, mon absence était excusable, c'était pour faire un autre atelier, avec la maison de la Culture et pour apprendre à me connaître dans une période où j'ai pas beaucoup de choix d'avenir (le théâtre en étant un) vu mon handicap, mais il n'empêche.
Pour l'instant, du coup, j'ai plus la sensation de faire partie de la famille de tous ceux qui se sont barrés (ou vont le faire) et avec qui j'ai bu plusieurs pots vendredi dernier...
Je passe sur un problème de facteur humain, sur la fin, qui m'a un peu gâché l'entre-deux de deux représentations...
Peut-être qu'il aurait fallu plus s'alcooliser tous ensemble (je peux pas le faire tout seul pour tous :)) ou faire la fête plus souvent pour atteindre le nirvana scénique...

Ouais j'ai cette sorte de nostalgie d'une unité de folie, de tout le monde sur la même longueur d'onde, qui n'a pas été tout à fait le cas cette année (et j'en suis en partie responsable)...
Mais il est facile d'y remédier maintenant que je sais ce pour quoi je suis fait : être dans cette famille qu'il faut chaque année récréer et faire autre chose (en plus de l'atelier) dans le théâtre à côté !!!
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Prévoir un budget de verges pour que les autres me fouettent si je leur fais défaut l'année prochaine...
 
Dédié à tout le monde, anciens et nouveaux, et aux nouveaux projets qui feront partir le coup de blues :)
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