Le blues de l'après, 2...
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Je reste dans la mouvance d'hier, là, j'ai le blues de l'après théâtre encore, mais pour aller voir des pièces.
Non pas que la télé ou les séries que j'aime ou que les reportages ça soit de la mayrde, mais comparé à l'émotion que tu ressens dans le public, par exemple...

J'aimerais en avoir des pièces aussi, mais c'est un autre sujet...

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Bon, j'avoue, des fois je chiale aussi à la télé...

Hier soir, j'ai vu Mademoiselle Bonsoir, un inédit de Boris Vian joué par les adolescents de la compagnie dont je fais partie et j'étais troué par le texte, le jeu qu'on demandait aux comédiens et la mise en scène. Alors comment ressentir à nouveau ces émotions d'aller au pestak ?...
Certes, tout l'été y a des pestaks musicaux sur Bourges, où je suis, mais c'est pas pareil, moi, j'aime surtout les rôles et les acteurs, les chansons, si elles sont pas à texte ou qu'elles ne permettent pas de danser, hein, j'aime autant ça dans ma voiture... Il n'y a d'ailleurs qu'en voiture que j'aime écouter de la musique.
Comment, en tout bien tout honneur, parce que sinon, hein, avec l'amicale des partouzeurs du Cher...

Mais laissons place à la musique du silence, du rôle et des images survolées...

Qu'en voitureuuu...
Oh !!!
...

Hi !

Hmmm...
Nan, je suis pas sûr qu'un concept de pestak de comédie privée en voiture ça serait particulièrement une bonne idée pour moi ou pour le comédien...
grmmf...
Pitin de blues, en vrai comme en musique, tiens...
Dédié à l'indépendance des Etas-Unis, je sais, ça n'a pas de rapport autre que le sujet de la semaine et le blues parce que j'aimerais bien y retourner.
Retour Juillet 2012 / Page 3170 / © Ebatbuok 2012
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