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Et
allez, comme je viens de faire un p'tit concours pour la fin du foulancement
d'inferno
jdr, chacun se choisit un personnage et un péché dans
l'enfer de Dante....
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Robert
Legros, gros mangeur, victime du sort et de son nom de famille. A consommé
tous les animaux possibles et imaginables. Mort en mangeant un crapaud
toxique..
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Robert
Labite, gros baiseur, victime aussi du sort et de son nom de famille,
a bouffé toutes les bites de la création, mort en étant
empalé par une BBC.
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Robert
VoitRouge, victime du sort et de son nom de famille, a piqué
des crises pour tout et n'importe quoi, mort de colère noire
alors qu'il aurait dû en rester au rouge....
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Robert
Lavare, victime comme les autres du sort et de son nom de famille. Mort
écrasé par son coffre qui a traversé le plafond
du grenier.
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Robert
Lementeur, comme les autres, a même menti sur la manière
dont il est mort...
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Robert
lhérétique, qui ne croit qu'en ce qu'il voit et comme
on a jamais vu dieu alors qu'on a vu plein de cafards, c'est pas dur
de savoir qui vénérer.
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Non,
moi, ce serait Roberte Lesgrosroberts alors. Mais je ne vois pas en
quoi c'est un péché...
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Robert
lhypocrite, qui va laisser Robert Laviolence, dans la case suivante,
dire tout ce qu'il pense de cette fabuleuse idée de page du jour.
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Robert
Laviolence, qui a la violence de dire que pitin, cette page est complètement
con, faut l'arrêter.
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Robert
Letraitre qui, en effet, préfère se barrer lâchement
et te laisser conclure...
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...
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...
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Et
là, c'est con, mais je vais dire Bob la flemme qui se dit qu'il
aurait dû finir sur Roberte lesgrosroberts et aussi que ça
va faire tout drôle à sa mère si elle le lit et
qu'elle enquête sur le terme BBC...
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Richardis
de Strade. Disciple, nonne et secrétaire d'Hildegarde de Bingen,
pour l'intrigue, on considérera que sa fascination pour Hildegarde
était aussi de nature romantique. Séparée de sa tendre
aimée, elle en vint à mourir assez vite de désespoir
ou de langueur amoureuse. L'amour charnelle des deux femmes causa ensuite
le trouble d'Hildegarde qui n'avait pas supporté leur séparation. Que deviennent les larmes de l'amour ? Que deviennent les larmes de ceux qui aiment vraiment en dépit des règles rigides de l'église. Les larmes sincères qui mènent à la mort par la peine de coeur. Assise sur un petit muret, Richardis voudrait écrire une ode au souvenir de sa bien aimée, savoir si elle a connu l'enfer, le purgatoire ou le paradis. Elle aimerait que les personnages puissent lui trouver des êtres qui ont pleuré d'amour, recueillir ces larmes pour écrire une ode à l'espoir et à la mémoire. Il serait intéressant, dans ce cercle de la luxure que les personnages découvrent que l'église condamne parfois trop sévèrement. Aimer quelqu'un de son sexe ou déjà marié n'est pas forcément le plus grand des péchés... Qui avez-vous aimé sincèrement ? Pour qui auriez été vous prêt(e) à vous sacrifier ? Et si vous ne souvenez pas, les larmes ne vous aideraient-elles pas à le faire ? Isobelle de Clairsignac. Noble abandonnée par son mari, laissée à la gestion du domaine, amoureuse des vins et de fromages et passionnée aussi par les oiseaux. Elle a dévoré quantité et quantité d'oiseaux à la suite d'un rêve récurrent de vol et de liberté. Elle est devenue obèse, incapable de donner naissance à un mari de toutes les manières n'aimant que les hommes. Elle a tout fait pour maintenir son mari "vivant" une fois celui-ci décédé lors d'une nuit avec son cuisinier. Elle contrôlait le cuisinier qui en retour se faisait passer pour le mari. Les rêves de vol sont-ils possibles sous la pluie battante ? Manger pour compenser et parce qu'on est triste sauve-t-il ? Et si les personnages pouvaient trouver un artiste, ou le cuisinier, capable de confectionner un oiseau de boue ou un oiseau mécanique pour qu'Isobelle ait une fois, une fois une seule, les faveurs de l'envol ? Faudra-t-il pour construire l'oiseau des plumes de l'espoir, des plumes tombées là, issues d'un ange ou d'un oiseau du paradis égaré un jour (ou pour toujours) en cet endroit ? Charles de Sarville. Quatrième fils, sans titres, sans droit, sans propriété. En colère contre les lois d'aînesse qui ont conduit le domaine a encore plus être ruiné, ses trois frères étant des incompétents notoires, lois de la consanguinité. En colère contre son père qui battait parfois sa mère et en vint à la tuer. Problème, Charles n'était pas le fils de son père, ce qui lui avait donné l'intelligence que n'avaient pas les autres, et la volonté d'étendre le domaine, de prospecter des mines. Conflit avec le père et l'aîné qui voulaient en rester à la gestion classique. De rage, il tua un jour père et frère aîné avant tué par un de ses neveux. Charles a besoin de rêver à la paix qui aurait pu être, comment son domaine aurait été prospère si sa mère avait toujours été là, si les mines avaient été exploitée. Dans cet enfer de boue, trouver des pierres de la couler qui apaisent le rouge de la colère, des pierres de la couleur du bleu azur des yeux de sa mère. Se concentrer sur les pierres, apparues peut-être sur les lieux où une créature céleste s'était endormie, peut-être la mère de Charles pardonnée pour son adultère, permet de rêver à ce qui aurait été possible... Rêver à ce qui aurait été possible peut donner de l'espoir, non ? Pas seulement de la nostalgie. |