Ce week-end, j'ai d'abord été joueur à Cthulhu dans les années 80 avec mon personnage de milliardaire qui vient du passé et un compagnon érudit... |
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Cet andouille s'est amusé à contacter un Dieu, à massacrer une prêtresse impie, à faire brûler des zombies, à tirer dans les genoux de démonistes et à se retrouver dans une autre dimension... |
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J'ai aussi été maître de jeu à Shadowrun et il a été question d'un père qui s'inquiète pour sa fille qui ne se marie pas avec un "bon parti" pour elle, d'une fille qui croit son père responsable de la mort de sa mère, d'un poète qui veut vivre le plus pur des amours avec sa belle de la haute... |
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D'une tante qui croit que son beau-frère a tué sa soeur et qui veut bien accueillir sa nièce, d'une secrétaire amoureuse de son patron qui est la véritable coupable du meurtre de la mère mais sur un simple croc-en-jambe malheureux, d'une fille un peu con amoureuse folle d'un poète qui la sauvera de sa bêtise... |
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Il y a eu aussi un mat totémique devant lequel on ne pouvait pas mentir et on avait envie de séduire ou d'avoir du sexe, d'une manière de pouvoir arranger tous les partis sans qu'il n'y ait la moindre mort d'homme, d'un dragon qui veut embaucher les personnages pour voler le mat totémique !
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Et nous, comme des cons, on a pas joué ! |
C'était un peu trop amour, gloire et beauté mon scénario ! |
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Pschiit, non, je parlais du scénario où ça a flingué des prêtresses impies et des satanistes, ça fait longtemps qu'on veut plus jouer avec toi ... |
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Sans déconner... |
Le jeu de rôle n'a jamais su enlever ses habits de bruit, de sang et de fureur pour revêtir auprès de la majorité des joueurs les doux habits de l'amour, la gloire et la beauté !! |
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