David contre Carrefour, 2...
Le lien du jour : tous pourris.
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Wow...
C'est cool hein.
Ah ben mon cochon, un logo... C'est autre chose qu'être au téléphone.
Ah ben c'est ça, hein, je ne suis pas que médioume téléphonique.
C'est cool aussi sans...
_

C'est marrant, hein, de passer la souris sur l'image ?

Bon, alors on parle de quoi ?
Ben de ce que fait celui dont vous êtes issu...
C'est-à-dire ?
Vous savez qu'il se comporte vraiment comme un sans gêne avec de nombreux transporteurs, par exemple*...

Non ? Vous n'aimez pas ?

Moi, ça me fait du bien... C'est un peu comme si j'avais le pouvoir de faire disparaitre la cause des mes ennuis...

Comment-ça ?
Que pensez-vous de quelqu'un qui a des exigences impossibles pour des petits producteurs au niveau des palettes de transport, qui ne paye pas forcément aux trois mois ou qui exige des papiers qui parfois n'existent pas ?...
Je fais ça moi ?
Pas vous exactement, vous, vous êtes le principe de l'essence immortel, vous êtes bon... Mais quand on connait des gens qui travaillent dans le transport et qu'ils vous racontent les tours de cochon faits par les hypermarchés, on a un peu peur pour le reste.

Ah ça, on s'amuse comme on peut, hein...

Et comme on peut peu de nos jours...

Le reste, c'est quoi le reste ?
La manière de rendre exsangues les petits producteurs, de monopoliser certains produits, de se servir des infos des cartes des clients, etc... Ca vous fait pas un peu peur, non ?!?
Nan. Parce que je suis comme vous : un indécrottable optimiste. Le jour où on aura éliminé toute la concurrence, là, ça sera le paradis et plus personne n'aura peur.
?!?

Bon des fois, on a tellement peur d'un truc qu'on ne peut même pas le virer...

Rha, si seulement la fiction pouvait rejoindre la réalité...

Dédié à toute la volonté que je veux bien mettre dans l'espoir qu'il puisse un jour exister un capitalisme "moral" et puis à ma femme dont c'est le deuxième anniversaire aujourd'hui.
Retour janvier 2011 / Page 2632 /© Ebatbuok 2011

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*Si, j'ai des informateurs sûr et ça fait un peu frémir le sans gêne qu'ils ont parfois.