Il y a 5000 pages : 19 Avril 2011
La vidéo de la semaine : Chroniques du bonheur : Vieil océan
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| Hmm,
je regarde ce que j'ai pas lu du panneau de l'au-delà... |
Aaaaah,
il y a cet article du Berry
républicain. | |
 | _ | |
| Hou
ça serait intéressant de faire le petit prince en Jdr, tu crois
pas ?... |
Oh ouaiiiiiiis... | |
 |  | |
| Surtout
que moi je pense que je suis le petit prince, hu hu hu... |
Hmmmm... | |
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 | |
| Il
a pas tort. Bon, ben bon courage pour ta lecture ou essayer de l'adapter en jeu
de rôle... | Wow,
c'est vrai que c'est pas con ça, tu vas l'adapter aussi en jeu de rôle
?... | |
 |  | |
| ... |
Ah
pitin de pitin de pitin de pitin de pitin, c'était pas prévuuuuu
mais maintenant je suis obligéééééééé...
| |
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Retour Décembre 2024 / Page 7731 / © Ebatbuok 2024
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C’est le premier livre qu’il a lu. « J’étais au CP depuis trois mois de CP. Je l’ai relu cinquante ans plus tard à mon fils, qui avait le même âge. »
Le
Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry tient une place à part
dans la vie du comédien Rafael Vaillant.
« Pour moi, c’est
un ouvrage de philosophie. C’est aussi un truc qu’on peut partager pour
Noël, comme le film la Vie est belle de Frank Capra.
Il s’en dégage
une ambiance de bonheur, dont nous avons besoin en ce moment. Car même si
le Petit Prince meurt à la fin, pour moi, ce n’est pas une vraie mort,
mais de la transcendance.
Le Petit Prince symbolise notre enfant intérieur.
Celui qu’on garde ou pas en nous. »
« Une lecture et un
club de lecture »
Lundi 30 décembre, à 15 heures, le comédien
donne une lecture du Petit Prince à l’association le Tourne-Livres,
à Bourges.
« Ce sera assez informel, explique Rafael Vaillant.
L’idée, c’était de lire l’œuvre littéraire
la plus lue au monde (lire ci-contre) et de proposer aux spectateurs qui le veulent
- je comprends parfaitement la timidité - d’interpréter
un des personnages. Je ferai le narrateur. »
Le rendez-vous pourrait durer deux heures, avec des pauses. « Je l’imagine comme une lecture et un club de lecture. J’ai envie qu’il y ait des moments d’échange. Tranquille. »
« Incarner des rôles, c’est être
habité »
Sa passion pour le théâtre, Rafael Vaillant
la doit à une rencontre. « Avant, mon loisir, c’était
les jeux de rôles.
Et puis sur un tournage, j’ai rencontré
Jenny Torrès, elle m’a dit qu’elle avait une compagnie de théâtre,
Maleluka, et de venir voir. »
Le coup de foudre avec le théâtre
balaie ses craintes de devoir apprendre des textes.
Il travaille depuis avec
Maleluka et la compagnie Avaricum. « Incarner des rôles, c’est
être habité. C’est un loisir qui me correspond.
Il n’y
a pas de plus grand plaisir que la scène. À travers l’art,
le temps disparaît. »