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Sur scène ce soâââââr, pour ma troisième fois de "Les Quais de Ouistreham", le pestak finalement le moins compliqué que j'ai eu à faire, ayant le moins de texte de tous les pestaks que j'ai joués et en plus l'ayant à la main pour des raisons de droits... |
Ma troisième fois m'a appris qu'il faut que je passe le livre tenu à bout de main droite souvent à gauche pour éviter les douleurs qui m'ont plombé les deux premières fois. On ne va pas se la jouer jamais deux sans trois pour les bobos, c'est maso... | |
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L'idéal serait en fait de se passer totalement du livre, mais en ce cas, ça serait une pièce totalement par coeur et là j'aurais le pitin de trac parce que c'est la peur d'oublier qui me donne les plus gros frissons et la nécessité de compenser en faisant le con... |
Avoir le trac trois fois, j'ai déjà eu sur l'Idiot l'année dernière, du fait du temps d'attente entre les scènes où je devais revenir jouer et c'est pas un trois fois qui m'a fait triper au niveau du bide... |
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Et franchement, c'est un plaisir, pour une fois, de jouer sans avoir le trac, parce qu'avec, c'est plus de trois fois que je vais aux toilettes avant de jouer... |
Et si vous vous demandez quel est le rapport entre le caca et les quais de Ouistreham, y en a un finalement, indirect, puisque les quais ça parle des gens dans le caca au figuré... |
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Eh eh eh ! |
Peux-être que ça serait mieux, finalement, que j'ai le trac, pour mieux être imprégné des personnages et éblouir la foule par l'incroyable sens de la transposition du caca propre (hum) au caca figuré !!! |
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