Chronique rôliste : Cyberpunk ...
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Boah, c'est vieux, c'est old school et plus que cyber, c'est punk, j'ai retesté Cyberpunk, 20 ans au moins après y avoir joué la dernière fois, et comment dire ? ...
C'est vraiment, vraiment punk...
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Le maître de jeu ayant limité les implants cybernétiques au départ, ça chie punk dans la colle effectivement ... Et le nombre de morts dans une partie atteignant des sommets rarement possibles dans donjons et dragons, on confine au No Future facilement...
Le truc très marrant aussi, c'est que tu peux créer ton personnage au hasard en tirant tout son historique et même son caractère, son objet préféré, la personne qu'il préfère ou son idéal...
Mon intellectuel et détaché personnage qui considère que chacun a sa valeur a bien été surpris par la valeur de ses petits camarades dont il n'a pas compris le taux de survie en dépit du fait qu'ils soient des gros boulets...
Mais jouer des boulets qui s'en sortent en dépit du nombre de trous dans leur bide, c'est justement ça qui est punk...
Grui...
Je sais juste pas pourquoi le jeu ne s'est pas appelé dès le départ : looserpunk plutôt que cyberpunk, hu hu hu :)
Dédié à Mike Pondsmith, eu'l créateur de Cyberpunk qui nous a permis de jouer tant de loosers :)
Retour Décembre 2014 / Page 4056 /© Ebatbuok 2014

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