Dans
une table de jeu de rôle, quand tu arrives à faire 6 pour avoir des
joueurs. Quelles sont les chances pour qu'il y ait six bons joueurs, hein, franchement... |
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Tu
as le prédicateur parfaitement au courant qu'il est qu'un aspect de la
personnalité de son frère jumeau et qui sait totalement maîtriser
la dite partie... |
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Tu
as l'elfe qui est parfaitement capable de jouer un bûcheron et de deviner
toute l'intrigue du scénario et des personnages au bout d'une demi-heure
de jeu... | |
Tu
as le nain clerc, deuxième partie de la personnalité de l'elfe qui
est parfaitement capable d'oublier qu'il ne joue pas pour une fois à Cthulhu
et qui est complètement en mesure de ne pas jouer un sectateur, justement. |
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Tu
as la gnomesse apprentie sorcière qui est totalement amoureuse de sa moitié,
totalement désespérée parce qu'elle n'arrive pas à
faire d'enfant et complètement absente de la passion manifeste des autres
joueurs pour toutes ces bouteilles... |
| Tu
as le noble humain qui est quand même incroyablement largué dans
le scénario et qui est parfaitement incarné par un joueur qui a
l'intelligence de ne pas se placer au-dessus de son personnage... |
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Tu as le joueur du hobbit garde du corps amoureux fou de sa femme gnome(imaginaire,
certes, mais bon) qui est tellement amoureux qu'il est incapable d'être
pris en photo sans elle... | |
Et
après, y en a qui se demandent pourquoi je ne les amène jamais en
convention...
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