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Le
matin du 29, départ sous un beau soleil, mais un vent à décorner
les boeufs... | Ou
les moutons, parce qu'on a vu plus de moutons que de boeufs... | |
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On
s'est arrêté à Laugarvatnshellar, un site qui fut troglodyte
pour deux couples de fermiers dans le temps, avec un vent à déplumer
les mammouths... | Les
gars, ils (sur)vivaient là... | |
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Mais
maintenant, c'est le merdodrome des moutons que j'ai surpris dans la grotte... | Il
est agréable qu'on n'ait ni le vent, ni l'odeur sur des photos, croyez-moi... | |
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J'ai
risqué le vent pour essayer de voir un soi-disant elfe qui aurait sauvé
un berger d'après une légende, mais faites-moi signe si vous en
voyez un... | Le
midi, on a fait un arrêt à Borganes, une ville à l'art contemporain
mystérieux et aux habitants déserts... | |
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Une
ville où tu... | Tu
peux pique-niquer en profitant d'un rayon de soleil à l'aune des bâtiments
vides. | |
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Le
soir, on s'est arrêté à Blönduos, avec une église
moderne, mais au toit percé... | Avec
cela dit, un art moderne plus compréhensif... | |
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Et,
en dépit du vent, du froid et des habits d'hiver, un bord de mer où
le courageux trempera les pieds... | Ou
regrettera de ne pas avoir acheté de l'alcool de bouleau plutôt qu'un
truc horrible à la réglisse (je hais la réglisse)... | |
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Une
ville où le voyageur qui a affronté une heure de vent et de brume
pourra se balader dans un bout de forêt replanté dans une île
qu'il atteindra par un pont où on ne peut passer qu'à un... | Pour
s'abîmer avec des oies dans un décor qu'on ne voit pas bien, pitin,
parce que je fais des photos pourries en 320 sur 240 ce qui est suffisant pour
moi depuis dix ans, mais pas pour l'Islande, sauvage et rebelle qui a besoin de
plus, ah pitin... | |
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